Nom: Hizako.
Prénom: Yunna.
Age: 18ans♪.
Groupe: Infirmière.
Symptôme: Phobie(s):Description mental:
Des oreilles pointus tel un lynx, des yeux de chats, et pourtant la jeune femme n'avait ni l'agilité, ni les sens aiguisés qui lui aurait valu le titre de féline. Son caractère de tigresse peut-être l'aurait alors différencier de tout être de sa race. Mais peu importait car Yunna, malgré son jeune âge, savait pertinemment qu'elle était unique. Cette certitude lui avait attribué la qualité d'être une femme sur d'elle et ambitieuse. Son petit côté narcissique n'en faisait pourtant pas moins tombé les hommes, et mieux qu'un défaut, il en devenait une qualité. Les femmes complexés et mal dans leur peau n'avait été qu'un passade dans l'univers du charmes, l'aguicherie avait reprit ses droits et Yunna en tirait tout les bénéfices. Manipulatrice, certes elle l'était et pas seulement qu'avec les hommes. La petite don juan aimait bien s'occuper des femmes car leurs doigts de fée était un atout prometteur ( avis aux pervers).
Yunna était assez extravertie et ouverte mais elle n'en ai pas moins féministe et mystérieuse.
Loin d'être naïve, elle restait toujours sur ses gardes à l'affut du moindre faut pas.
Mais pourtant derrière cette carapace que chaque être ce forme se cache des sentiments. Et malgré elle, elle n'était pas l'exception qui confirmait la règle...
Les femmes sont énervantes, manipulatrices et totalement psychorigides et le pire?... Elles rendent les hommes meilleurs.Description physique:
Non, Yunna n'était pas une femme comme les autres ne serais-ce que par son physique des plus impressionnant. Un teint halé par un soleil présent chaque jour, des oreilles fines et aiguisés qui lui permettait une ouïe excellente mais surtout des yeux d'un jaune déroutant. Cette golden eyes n'avait rien à envier aux petits jeunes de la cité mais pourtant éprouvait toujours le besoin de se faire teindre les cheveux d'un rouge éclatant, comme si elle avait encore quelque chose à prouver.
Essayant pertinemment de combattre sa gerascophobie, elle ne pouvait s'empêcher de paraitre sous une beauté artificielle persuadé que celle de la nature ne suffisait pas.
Souvent elle attachait ses cheveux par une natte qu'elle enroulait autour en guise d'élastique mais sa chevelure avait vite fait de redescendre jusqu'à ses fesses, des mèches rebelles lui caressant les hanches.
Etant plutot grande du haut de ses 1mètre 75, sa sportivité lui offrait un corps élancé et finement musclé mais sa poitrine restait raisonnable contrairement à toutes ses femmes de manga.
Son visage quand à lui restait naturel. Une bouche charnue, des joues rosés, un nez droit et des sourcils joliment tracé: elle s'acceptait et même pire, s'aimait!
Histoire: (?)
12 mars 19**.
J'avais faim...J'avais soif...
J'avais peur.
Les balles sifflaient. Moins brutale que les obus mais tellement effrayante du faite quelle blessent et tuent en silence. Ils tombaient un par un, des pères de familles, des femmes et même des enfants. La mort n'épargnait personne, montrant sa gloire et sa force. Qui aurait pu faire arrêter ce massacre? Nous ne pouvions que les contemplés sans bruit, la bouche ouverte, les yeux exhorbiter. Nos hommes Allemand n'étaient que des machines de guerre, soldats au service de la mort. Chacun tirait sur des gens qu'on ne connaissait pas mais pourtant que déjà nous n'aimions pas. Était-ce ça une guerre Hitlérienne? Tuez des inconnues ayant comme crime d'être juifs?
Je gardais le silence par peur de finir comme eux. J'avais une mission à respecter où me taire m'assurais la vie.
Mon aiguille se planta férocement dans le bras d'un patient. Je n'écoutai pas son grognement, regardant le spectacle de sang qui s'offrait à mes yeux.
_ Tu l'as connaissais? Je hochai négativement la tête alors qu'ils ablataient ma mère.
_ Je suis sur que c'était une traîner. Reprit-il de plus belle.
Je regardai le sang couler, les poings de la victime se desserrer. Un instant je cru qu'elle n'était pas encore partie, qu'elle faisait juste semblant. Cette femme m'avait offert la vie, son foyer et sa joie. La perte d'un être cher me touchais plus que je l'espérais: je me mis à pleurer en silence.
Les larmes de joie sont éphémère, alors pourquoi les larmes de souffrance laissaient tant de traces?
J'essuyai mes joues mouillés d'un revers de main: il n'étais pas l'heure d'être faible.
_ Je n'en doute pas commandent.S'évader, fuir pour un monde meilleur. Mais pouvais on échappé au malheur?
Puis cette réponse... Si froide, si singulière qu'elle m'en donnais des frissons. C'était-il douté de quelque chose? Non, sinon il aurait déjà alerté les autres. Mais il l'apprendrais tôt ou tard et ce jour là, ma vie basculera. Les sourire, les rires? Ne seront plus que des souvenirs. Personne ne devait savoir!
Mes yeux refusait de regarder plus longtemps ce massacre et m'obligeait à m'occupé de mon client. Ainsi, je m’attela à mon travail quotidien, mon esprit partager entre mes faits et gestes et ce qui se déroulait à moins d'un mètre de moi. Comment pouvais-je ne rien faire? Ignorer les cris, me terrer dans le silence et faire mon devoir, je n'étais bonne qu'a ça!
Mes doigts se placèrent donc sur la plaie de mon "camarade", je lui mis une compresse et d'un sourire lui préviens que j'avais finis.
Il se leva, le bras collé contre ses côtes, prêt à repartir au combat.
[en cours]
Test RP: (?)
HRP: Fautes non-corrigés ^^'